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COÛT DU CAPITAL

Dans le premier module, nous abordons le contexte socio-économique du moment et notamment le matraquage du patronat, particulièrement instigué par le MEDEF (mouvement des entreprises de France), concernant la compétitivité des entreprises, les charges colossales qu’elles supporteraient seules et, à côté de ça, des salariés qui coûteraient trop cher, pour qui il faut revoir à la baisse les conditions sociales, le niveau des salaires, le financement de la protection sociale de santé

et de retraite, etc. Bref, autant d’attaques orchestrées par le MEDEF et mises en œuvre par le gouvernement pour alléger un soi-disant « coût du travail ».

Pour la CGT, ce n’est pas le travail qui coûte cher, mais plutôt la rémunération des actionnaires. L’argent existe, l'exil fiscal, les exonérations de cotisations sociales octroyées aux entreprises, etc. Il y a nécessité de se pencher sur une répartition des richesses plus juste. C’est autour de cette question cruciale de la répartition des richesses créés par le travail, que la confédération CGT a lancé une large campagne sur le « Coût du capital ».

Voyons tout ça avec Grégory Roux, secrétaire général adjoint de la CGT des cheminots, membre de la commission exécutive confédérale et Béranger et Amélie, deux jeunes cheminots qui l’interrogent sur cette question.

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